On peut regrouper dans le chapitre des « les pseudotumeurs des parties molles » de nombreuses anomalies ou affections disparates dont le dénominateur commun est, outre bien entendu d'intéresser les parties molles, de correspondre à l'étymologie latine du mot tumeur (tumor : masse) sans être des processus tumoraux vrais, au sens de néoformations tissulaires par prolifération cellulaire.
Des anomalies aussi diverses que de simples variantes du normal, des lésions infectieuses ou inflammatoires, des lésions traumatiques, des calcifications ou ossifications, des kystes, des dépôts de substances, les fibromatoses, des lésions vasculaires, des lésions cutanées... peuvent y trouver place. Il n'est pas possible, dans ce cadre, d'être exhaustif.